• Notre environnement

    Le boulodrome d’Aumetz est très fréquenté, surtout par les retraités.


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    Un outil qui va prendre racine.


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    Le lait (1)

    Le lait est l’un des revenus importants du cultivateur, les traites du soir et du matin remplissent des bidons de vingt litres. Le lait sortant du pis est filtré dans un gros entonnoir pour éliminer les impuretés. Les bidons sont placés devant la ferme et ramassés par le laitier, le nombre de bidons est un peu une vitrine de la ferme, comme l’importance du tas de fumier.

    Le ramassage s’effectue tôt le matin par camions (pendant la guerre, c’était parfois des charrettes hippomobiles). Le bruit des bidons s’entrechoquant est un réveille-matin pour les retraités et les enfants. En échange des récipients pleins, le préposé au ramassage en laisse des vides.

    -Vous m’en mettez un de plus, deux veaux vont être sevrés.


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  • Notre environnement

    La caserne

    Ce grand bâtiment d’Aumetz est appelé la Caserne mais il n’a pas été construit pour abriter des militaires mais pour loger les familles de mineurs venues d’Italie et de Slovénie, maintenant c’est un collectif et c’est souvent la première résidence de jeunes couples. Il est face à un grand pré convoité par des promoteurs, d’autant plus qu’il est situé au centre de la commune, mais le propriétaire, agriculteur à la retraite ne veut pas le vendre.


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  • Le vétérinaire

    Le vétérinaire est presque aussi important que le médecin, surtout quand un cheval est malade, cet animal est d’une telle utilité que son indisponibilité ou pire sa mort sont graves.

    Une bête malade mobilise la famille du cultivateur, les gosses guettent la voiture du véto et claironnent son arrivée.

    L’accident le plus fréquent est le ballonnement surtout chez la vache au printemps mais aussi chez le cheval. Le ventre gonfle, se remplit de gaz et, pour sauver l’animal, le vétérinaire perce la peau jusqu’à la poche de gaz.

    Le vêlage est parfois difficile et, dans certains cas, le vétérinaire est appelé. Plus fréquent est un poulinage délicat et c’est l’angoisse, la jument et le poulain risquent de mourir et ce serait dramatique.

    Le vétérinaire est un homme simple et courageux, son amour des animaux se ressent dans ses interventions, quand sa mission est accomplie avec succès, il est aussi heureux que les fermiers, quand malheureusement c’est un échec, il compatit.

     


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