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    Espace vert

    Au cœur du village, comme un espace de liberté, j’aimais bien ce secteur et je l'ai retrouvé aussi agréable, j’y verrais bien un petit square, avec des bancs, quelques arbres.


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    La population d’Aumetz

    La population est diversifiée à Aumetz, peu d’autochtones, beaucoup d’habitants d’origine italienne, mais aussi d’origine slovène, des Maghrébins et puis des foyers venus des départements voisins dont la Meuse (comme nous!), et d’autres régions de France. Depuis quelques années, il y a un mouvement migratoire important, des arrivées et des départs fréquents, les loyers sont assez élevés et plusieurs immeubles collectifs ont été construits. Il y a également de nouvelles constructions individuelles, soit en lotissements périphériques (comme le montre la photo), soit en centre-ville où il reste encore quelques terrains libres.


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    Photos

    L’expo photos a connu un grand succès, le passé est toujours présent dans les esprits, que de tranches de vie représentées sur la table et accrochées aux grilles !


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     Maréchal-ferrant (1)

    Le maréchal-ferrant est un personnage important dans le village, il est également forgeron. Sa principale occupation est le ferrage des chevaux. C’est souvent un homme solide, le visage rougi par la chaleur de la forge, il porte un tablier de cuir et il est souvent bras nu.

    L’agriculteur est attentif à la tenue des fers, un cheval déferré perd de son efficacité, particulièrement sur les chemins caillouteux et il risque de se blesser, d’être indisponible durant quelques jours ce qui serait regrettable en période de forte activité.

    Dès qu’un fer a du jeu, et à plus forte raison quand il se décloue, le maître conduit le cheval chez le maréchal. Il faut parfois attendre son tour. Si l’ancien fer n’est pas usé, il va reprendre sa place sous le sabot, sinon, l’artisan en prépare un autre. Il a plusieurs modèles, de dimensions différentes et il l’œil pour voir celui qui conviendra le mieux. Il fait un premier essayage avant de le travailler à chaud. Le fer, pris dans une pince aux longs bras, est enfoui dans la braise attisée par un énorme soufflet actionné à la main. Dès qu’il est rouge, le maréchal le travaille sur son enclume, le resserre ou au contraire l’élargit. Il doit faire vite car le fer se refroidit rapidement. Entre chaque coup porté sur le fer, il frappe l’enclume de petits coups de marteau, ce n’est pas pour faire entendre un son agréable mais pour neutraliser les vibrations de la masse métallique.

    Un nouvel essayage, mais il est souvent nécessaire de faire une petite rectification avant de le clouer. Appliqué sur le sabot encore chand, le fer  brûle la corne et se dégage une fumée à l’odeur spécifique qui n’est pas désagréable.

    L’opération du clouage est spectaculaire, l’artisan prend le nombre de clous nécessaires et les coince parfois dans sa bouche ou les prend au fur et à mesure dans une poche de son tablier de cuir. Le clou doit être planté dans une position précise pour ne pas blesser le cheval, une partie sort du sabot, la pointe est coupée, le reste est replié.

    Le cheval habitué ne bouge pas, il sait que cette opération est pratiquée pour son bien-être, ce n’est pas le cas d’un animal qui doit être ferré pour la première fois et, dans ce cas, le maréchal doit utiliser un support en bois appelé « travail », un  appareil qui coince la jambe de l'animal.


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    Maison Bonamy

    Monsieur et madame Bonamy (des cousins) ainsi que leur fille Geneviève étaient sympathiques, je venais les saluer le jour de mon arrivée et leur dire au revoir la veille de mon départ. Entre temps, je passais leur dire un petit bonjour, surtout quand je voyais l’une ou l’autre dans le jardin.

    J’ai eu le plaisir de faire connaissance avec Edith, la fille de Geneviève, je l’ai immédiatement identifiée, elle ressemble à sa grand-mère.

     


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