• Fables

    L’impasse

    Le soir, avant de remonter chez mes grands-parents venant de chez Marraine, je devais obligatoirement passer devant cette impasse. En septembre, la nuit tombée, ce grand trou noir me faisait peur, j’avais l’impression de voir bouger des ombres, d’entendre des bruits suspects, je m’écartais le plus possible et je courais.

     


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  • Fables

    Stéphanie

    Stéphanie, 28 ans, fille de Régis et de Faco est encore célibataire comme son frère Philippe, ils sont tellement bien à la maison ! La demoiselle a du caractère, elle change de look comme de garçon, elle finira bien par trouver ce qui lui convient à tous les niveaux.

     


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  • Fables

    Rue de l’Eglise

    La rue de l’Eglise, c’était « ma » rue, elle était l’une des plus animées de Seigneulles, avec les équipages agricoles et les troupeaux de vaches, mais aussi les vélos et les quelques voitures de l’époque venant de Bar-le-Duc, via Vavincourt. C’était aussi la rue du maréchal-ferrant et puis, elle l’est toujours, celle de l’église et du cimetière.

     

     


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  • Fables

    Philippe et David

    Philippe est notre premier petit enfant, il a trente ans, malgré plusieurs tentatives, il est encore célibataire, nous pensons qu’il est surtout prudent. C’est un garçon calme et sympathique, il est commercial dans les jeux vidéos, il est encore chez ses parents, en région parisienne. Enfant, et alors que ses parents habitaient non loin de chez nous, il était souvent à la maison, il adorait le jardin, il a gardé de bons souvenirs de cette période et il vient nous voir plusieurs fois dans l’année.

    David est le fils de Sylvie, notre fille, il vient de quitter le nid pour fonder un foyer avec Amandine, nous espérons que ce jeune couple nous offrira le plaisir d’un arrière petit enfant. Il est doué en informatique, et il a créé une auto-entreprise dans ce domaine, un créneau porteur.

     


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    Fables

    La boulangerie

    La boulangerie Ladruze était un lieu très fréquenté, chaque jour, les habitants s’y rencontraient et souvent des groupes bavardaient dans la rue.

    J’aimais chercher le pain mais, curieusement, la miche perdait toujours un morceau en chemin.

     


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